ESPACE D’ART MONTRESSO

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Du 11 mai
au 20 juillet 2024

Depuis sa création, la Fondation Montresso* bâtit une fabrique du lien et du partage en invitant les artistes à s’exprimer sur le réel et le songe, le spirituel et le poétique et sur toute la beauté des langues de l’Art.
Elle inscrit la mémoire du lieu dans un patrimoine qu’elle souhaite vivant et commun.

Au sein de son espace d’Art, la Fondation propose du 11 mai au 20 juillet 2024 un regard sur sa collection permanente par le prisme de la sculpture. La sculpture ne se laisse pas réduire au simple statut d’objet, de corps, de signification ou d’image. Elle est une présence incarnée, éprouvée dans l’espace offrant les possibilités de l’alentour, du proche et du lointain. Elle est l’imaginationde l’artiste qui s’exprime sous la forme de volumes, de surfaces, de plans pour révéler une manifestation du sensible. Longtemps circonscrite au statuaire, au monument, la sculpture est aujourd’hui action, installation. Elle est une mosaïque de notre communauté humaine dans son rapport à elle-même, au monde et au divin.

On découvre la poésie tangible de la représentation des corps dans les œuvres présentées de Cyrille André, David Mesguich et Ignacio Lobera. La matière est bois, acier, papier laissant entrevoir les incarnations charnelles d’une spécifique dramaturgie. L’auteur ne fait pas l’espace, il le dégage, lui laisse du champ libre. Tout ce travail de matière est un affrontement aux lois de la résistance, de l’équilibre, de la pesanteur.

Depuis sa création, la Fondation Montresso* bâtit une fabrique du lien et du partage en invitant les artistes à s’exprimer sur le réel et le songe, le spirituel et le poétique et sur toute la beauté des langues de l’Art. Elle inscrit la mémoire du lieu dans un patrimoine qu’elle souhaite vivant et commun.

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Enfant d’Abidjan, sa ville est un formidable creuset humain, là où s’élabore bon gré, mal gré une manière de vivre. Ce territoire, plus particulièrement celui de Yopougon, Armand Boua l’arpente chaque jour. Il dissèque les morceaux de ce grand puzzle et la vitalité mordante de ceux qui l’habitent. Être dans la rue, c’est être en dehors; habiter dans la rue c’est progressivement s’approprier un fragment de l’espace public. Inlassablement, l’artiste s’attache à observer les errances de ces visages et de ces corps qui fabriquent cette singulière énergie de vie.

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